De Solheimar à Reykjavík, rencontres
Juin 2006
Attention : si vous cherchez une galerie de panoramas islandais, vous n’êtes pas au bon endroit. Peut-être y retournerai-je un jour, avec le secret espoir d’apercevoir une aurore boréale. Mais cette fois, il s’agissait de tout autre chose. Un chantier de bénévoles internationaux dans la communauté de Solheimar et une flânerie dans la capitale. Des rencontres humaines et la découverte d’une région. Un voyage presque immobile.
(Page 1 : les paysages, urbains et sauvages – Page 2 : les visages, rencontres multicolores)
Le village et ses alentours immédiats

Commençons avec un peu de soleil, parce qu’après je vous préviens…

… ça va se couvrir un peu

Dans le village

En prenant un peu de recul

L’église

La baraque que nous étions censées démanteler (avant de faire grève pour cause d’amiante)

Les serres de Solheimar

Le drapeau revisité

Le réconfort après les journées de travail

Nature et vie sauvage

Au pays de la glace, l’eau est reine

Avec un ciel si bas qu’un canal s’est perdu…

Avec un ciel si gris qu’un canal s’est pendu…

R.I.P.

Poésie crépusculaire (en milieu de journée)

Une ferme islandaise

Un pullover et ses deux moufles

Le cheval islandais est petit, râblé, chevelu et sociable (tout comme moi, enfin presque)

Échange de bons procédés

On n’est pas des bêtes

Métissage en vue

Les plages de lave, brûlées au chalumeau par les colères terrestres

Décor idéal pour installer le château du méchant sorcier, non ?

Et toujours, le végétal surprend par son acharnement à donner de la couleur à l’environnement le plus hostile

Côté couleur, le minéral n’est pas en reste, quand le volcanisme s’en mêle

Et l’eau du Blue Lagoon se défend aussi

Reykjavík

En Islande, les enfants doivent apprendre très jeune le maniement du parapluie

Et si vos enfants ne vous donnent pas pleine satisfaction… (« installation artistique »)

Une belle journée, j’en profite pour me balader dans le port de Reykjavík

Les couleurs explosent

21 juin, 23h56 : le soleil hésite à se coucher. Cinq minutes plus tard, il y renoncera.

Ce qui s’appelle une pyramide humaine ?

The Pearl, animal architectural à six pattes qui abrite les réservoirs d’eau de la ville

Sur le petit lac, au cœur de la ville, son église

Belliqueuses

Et pour cause, le distributeur de croutons est arrivé…

… et se délecte de voir s’étriper mouettes et canards
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