Népal, côté montagne (les Annapurnas)
Février 2005
(côté ville – côté montagne)
Nous n’avons pas eu de mal à rejoindre les sommets. Quant à en revenir, ce fut une autre histoire. Coup d’état oblige, les routes ont été bloquées, et nous avec. Deux jours au milieu de nulle part avant de pouvoir retourner en ville. Ça fait des souvenirs. Et ça en valait la peine :
Majestueuse montagne, avec son écharpe de nuages
En bas, sur les eaux tranquilles du lac Fewa de Pokhara
Le chiot vient de servir de projectile à ces mini bonzes, d’où sa mine légèrement renfrognée
En bord de lac, on cultive, soigneusement, géométriquement
Dans la montagne, coq et chaton gardent la maison
Les flancs sont scarifiés par les cultures en terrasses
Le linge sèche sous la protection du mont Machhapuchre (sinon, vous pouvez aussi l’appeler « Fish Tail »)
Montagnards en herbe
La mousson n’est pas encore passée par là, mais petit ruisseau deviendra grand
Dans la lumière du soir, les terrasses s’embrument
Et voici Nagarkot, point de vue imprenable sur le toit du monde
Entre ville et campagne
Le lever de soleil sur les Annapurnas, je vous conseille. Seul défaut, ça commence à l’aube et il n’y a qu’une séance par jour.
Sinon, en journée, c’est pas mal non plus, même par temps menaçant
Mais au petit matin, la nature a la couleur d’un croissant au beurre et ça, c’est chouette
Voilà, il est temps de rentrer. Qui porte mes bagages ?
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