
« Tu me saoules » ou « Tu m’enivres »
Que s’est-il passé ?
Comment se peut-il que deux synonymes en soient arrivés à une telle antonymie ?
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« Tu me saoules » ou « Tu m’enivres »
Que s’est-il passé ?
Comment se peut-il que deux synonymes en soient arrivés à une telle antonymie ?

Les mots
viendront
plus tard

Je ne suis pas sûre de savoir comment comprendre ça…
Peut-on avoir raison d’avoir tort ?
L’anarchisme de droite n’est-il pas juste une immense escroquerie intellectuelle ?
N’est-il pas dommage que les escargots n’aient pas de pomme d’Adam ?
Peut-il y avoir des réponses intelligentes aux questions stupides ?
Et pourquoi 42 ?


2 + 0 + 2 + 2 = 6
6. 6 ? 6 !
Et si vous multipliez 6 par 111 (parce que pourquoi pas), alors…
Bonne année quand-même !

On devrait apprendre à mieux penser avant d’apprendre à mieux parler…
Je n’ai pas besoin d’être convaincue du pouvoir des mots. Non, vraiment, pas moi.
Et j’ai déjà exprimé mon point de vue sur l’inclusion dans l’écriture (ici).
Encore faudrait-il ne pas oublier que les mots se forment dans l’esprit avant de passer sur nos lèvres.
Toute personne doit pouvoir décider, pour ce qui la concerne, du pronom utilisé pour la désigner, « iel » inclus si c’est là que va sa préférence, mais sans nécessairement s’y limiter.
Pour le reste du débat, je ne peux que me répéter : contre l’exclusion, l’invisibilisation de quelque genre ou non-genre que ce soit, la solution ne peut être que l’exclusion, l’invisibilisation, l’indifférence au genre en général.
Non. C’te blague !
« Liberté ! Liberté de ne pas me faire vacciner ! Liberté de ne pas porter de masque ! Liberté de choisir parmi les règles de la société celles que je souhaite respecter ! »
Liberté de nuire ?

C’est aussi au nom de leur sacro-sainte liberté individuelle qu’un certain nombre d’américains revendiquent leur droit à détenir des armes à feu.
Certaines libertés sont mortifères.
La liberté absolue de l’individu est une dictature imposée à autrui.
Souvenez-vous, vous avez appris ça quand vous étiez petits : la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres.
Ça s’appelle « faire société ».
Refuser l’idée que notre liberté puisse avoir des limites, ça s’appelle être un sale gosse tyrannique. S’obstiner à le faire jusqu’à la violence, ça s’appelle être sociopathe.

L’égalité, ce n’est pas traiter tout le monde pareil.
L’égalité, c’est donner plus à ceux qui ont moins.
Edit : D’aucuns appellent ça l’équité et font une distinction. Mettons que l’un soit le processus, le traitement, et que l’autre soit le résultat. J’aurais dû écrire « Viser l’égalité » ou « Le moyen de parvenir à l’égalité ». Comme je ne suis pas la dernière à pinailler sur les mots, je ne vais pas le contester.
Par contre… ça ne vous dirait pas qu’on réajuste notre devise et qu’on en vienne enfin à « LIBERTÉ, ÉQUITÉ, SOLIDARITÉ » ? D’une pierre deux coup.
Définitions du TiLF
Équité : (Principe impliquant l’) appréciation juste, (le) respect absolu de ce qui est dû à chacun.
Égalité : Fait de ne pas présenter de différence quantitative, […] de qualité, de valeur, […] de droits.

Voilà.